S’il n’a jamais eu d’attrait pour le chant ou la pratique d’un instrument, Alexandre Martin, CEO de la jeune start-up vaudoise Smeetz, qui a sauvé les clubs et discothèques suisses de la crise du Covid-19 grâce au développement de son application gratuite Swiss Night Pass et à la plateforme save-the-night.ch, a pratiqué la photo pendant quelques temps. Marqué par Kafka et son «Procès», où l’absurdité mise en lumière par l’auteur sert d’excellent point de repère dans la société actuelle et son manque de bon sens, Alexandre rêve de rencontrer (ou de devenir) Léonard de Vinci. Addict aux nouvelles technologies, le jeune entrepreneur 3.0 s’éclate naturellement sur les musiques électroniques entre deux heures de sommeil, a du mal avec le rap français actuel dont il dénonce le manque de propos progressistes, et rêve d’une ville où la culture serait spontanée, à l’air libre dans les parcs et les rues, et non pas uniquement dans des lieux fermés.
La série que tu bingewatches actuellement?
«Peaky Blinders». C’est violent à l’extrême, mais très bien fait.
Le dernier film que tu as vu ?
«The Post» – Je suis un inconditionnel des films au sujet des événements politiques passés.
Le film que tu as tellement hâte de voir?
J’admets être un peu à court d’idées sur Netflix actuellement…
Le concert que tu rêves de voir?
R.E.M. , avec bien entendu le titre «Losing my religion».
Le truc que tu adores et que personne ne connaît?
La série «Damages».
Ta rencontre la plus marquante avec un artiste?
Avec IAM en backstage du Paléo il y a maintenant bien 20 ans!
Ton musée préféré?
Sans hésiter l’Elysée qui regroupe architecture, verdure et expositions incroyables.
Si tu avais été un artiste, tu aurais aimé être…
Leonard de Vinci. J’ai une passion pour la science et l’innovation, et pouvoir combiner l’artistique et ce côté plus cartésien est pour moi un signe de grande intelligence.