Loin des projecteurs, voici trois initiatives, parmi d’autres, dont j’ai pris connaissance dernièrement, en lien avec les événements meurtriers en Ukraine ou en Turquie.
La première concerne un promoteur immobilier qui, depuis l’éclatement de la guerre, met à disposition des réfugiés ukrainiens une maison de maître au bord du Léman. La deuxième est une formation professionnelle offerte par une entrepreneure pour les aider à intégrer le marché du travail.
La troisième est partie d’un appel téléphonique reçu par un dirigeant bouleversé par le tremblement de terre. Après avoir visionné un reportage TV montrant une famille dévastée avec un enfant handicapé dans les bras, il me demande de l’aider à la retrouver. Il veut, dit-il, «y dépêcher un avion» et se dit prêt à prendre en charge, à vie, les frais médicaux du jeune garçon.
Qui sont donc ces personnes? Des femmes et des hommes que vous connaissez, peut-être votre voisin ou votre patron qui cherchent à faire une différence dans la vie de celles et ceux qui en ont le plus besoin.
Ces entrepreneurs sociaux ne se contentent pas de créer de la richesse ou des emplois. Et n’en déplaise à beaucoup, ils sont bien plus nombreux qu’on ne l’imagine.